FRCPM Nord-Pas de Calais
Des années durant, des mécaniciens-pêcheurs ont travaillé sur un même chalut. Ils y ont vécu leurs plus belles années mais aussi les plus rudes. Un jour, l’armateur dépose le bilan. Le bateau se retrouve à quai et les marins au bistrot chez Malou. Le bateau, promis à la ferraille, est racheté pour l’euro symbolique. Les matelots l’installent en cale sèche ; de bateau usine, ils le transforment en boîte à musique. Poussé par ses hommes, le Bato Fracas part pour une traversée unique avec escales ; le public est transporté progressivement vers d’autres contrées revendicatives, fantasques et poétiques.